Ornella est désespérée par sa fille Talia, 18 ans. Elle n’est pas très bien dans sa peau, elle s’habille avec les habits de ses arrière-grands-parents. Elle a pris beaucoup de poids et elle n’aime faire du shopping car elle ne trouve pas d’habits à sa taille. Elle se cache derrière un look « confort à tout prix ». A son âge ce n’est pas possible.
Le surpoids de Talia a fait sortir une pilosité au niveau du visage, comme une barbe qui pousse entre les pattes. Elle épile ses poils à la cire, mais ça fait des plaques et des boutons. Elle est hyper complexée alors qu’elle rêve d’être féminines et de plaire.
Ce n’est pas normal d’avoir des poils sur le visage. On appelle ça de l’hirsutisme. La première chose à faire est de consulter un médecin qui va faire un bilan pour voir s’il n’y a pas une cause à cette pilosité, notamment un dérèglement hormonal.
On a plusieurs techniques pour faire de l’épilation définitive au niveau du visage, notamment le laser. C’est une technique qui va consister à détruire le bulbe pileux par un faisceau lumineux. Ça permet de détruire environ 80% des bulbes pileux.
Après quelques jours de réflexion, Talia a prix rendez-vous avec un médecin compétent pour une épilation définitive du bas de son visage. Et pour cela, direction la Clinique des Champs-Elysées.
Le faisceau lumineux du laser va cibler la mélanine, détruire le bulbe pileux et empêcher la repousse du poil. Une séance laser dure entre 10 et 15 minutes. Plusieurs séances sont souvent nécessaires pour empêcher définitivement la repousse du poil.
Maintenant que les poils de Talia ont disparu, Charla, Léa et Nico vont pouvoir s’occuper de sa nouvelle apparence. Pour nos trois experts, le challenge est de lui apprendre à se mettre en valeur grâce à un look de diva chic.
Quand elle se regarde dans le miroir, c’est sa coiffure qui lui saute aux yeux en premier. Elle avait cette coupe et cette couleur quand elle avait douze ans. Elle a l’impression de faire un retour de cinq ans en arrière. Par contre, elle aime beaucoup la tenue et le maquillage. « je suis arrivée comme un homme avec les vêtements de mon arrière-grand-père, je repars comme une femme. C’est très positif. » Talia a eu un vrai déclic.